
Quand il découvre Massacan dans le podcast Ultra Talk d’Arnaud Manzanini, Antoine a tout de suite accroché.
L’esprit, l’énergie, la passion du vélo et de l’aventure : exactement ce qu’il cherchait pour changer de monture.
Et comme il ne fait pas les choses à moitié, il est descendu de Dijon jusqu’à notre atelier pour récupérer son Scapada en main propre, avant de l’étrenner sur les pentes du col de la Madone.
Résultat ? Un coup de foudre immédiat.
Son vélo
Antoine roule sur un Scapada 2.0, la dernière évolution du modèle, équipé de la nouvelle patte UDH et d’un dégagement élargi pour accueillir des pneus jusqu’à 40 mm.
Un vrai allroad affûté, pensé aussi bien pour rouler fort sur route et en ultra, que pour s’échapper sur des terrains plus aventureux.
ôté esthétique, Antoine a opté pour le Olympic White, le même blanc immaculé choisi pour Paula, en finition brillante. Un coloris à la fois sobre et intemporel, qui met en valeur les lignes tendues du SCAPADA et lui donne une allure résolument élégante.
Le montage est à l’image du projet : équilibré et racé, mais surtout polyvalent.
La transmission est confiée au dernier SRAM Force AXS, en double plateau 48/35 dents, associé à une cassette 10-33.
Un choix judicieux pour conjuguer vitesse sur le plat, agilité en montagne et endurance sur les longues distances.
Le cockpit est intégralement signé Vision, avec un cintre Trimax Carbon et une potence SMR2 à l’angle marqué de –10°, qui tend la ligne du poste de pilotage et confère au vélo un caractère agressif.
La tige de selle FSA SL-K carbone complète le package avec légèreté et rigidité,.
Antoine a tenu à remonter ses propres roues, histoire de retrouver des sensations familières et de tester leur comportement sur ce nouveau cadre.
Résultat : un vélo à deux visages.
Un compagnon capable de filer à toute allure sur les routes d’ultra distance, de gravir avec panache le col de la Madone, mais aussi de s’aventurer sans complexe sur des terrains plus sauvages où son passage de pneus généreux fait toute la différence.


En conclusion
Qui de mieux que l'heureux proprio pour en parler ?
Comment t’as découvert Massacan ?
« C’est en écoutant le podcast Ultra Talk d’Arnaud Manzanini que j’ai entendu parler de Massacan. Et ça m’a tout de suite accroché. »
Pourquoi t’as choisi Scapada ?
« Je cherchais un vélo de route, mais pas trop rigide dans son usage. Je voulais pouvoir mettre des pneus larges pour m’aventurer un peu partout : bikepacking, ultra distance, un peu de off-road… Scapada cochait toutes les cases. »
Et la couleur custom, pourquoi ce choix ?
« C’était l’occase d’avoir un vélo unique, avec ma couleur. C’est pas tous les jours qu’on peut rouler sur un cadre que t’as vraiment choisi de A à Z. Trop cool. »
(NDLR : On a trouvé l'Olympic White si chouette sur Scapada qu'on en a fait une couleur standard du coup)
Qu’est-ce qui t’a plu chez Massacan ou sur le vélo en lui-même ?
« Ce qui m’a séduit, c’est l’énergie qu’ils dégagent. La vibe est super bonne. Chez Massacan, ce ne sont pas juste des gens qui font des vélos, c’est des passionnés de vélo, de ride, d’aventure. Et c’est pile ce que je cherchais en changeant de monture. »
T’es quand même descendu de Dijon pour venir le récupérer, pourquoi ?
« J’avais trop envie de rencontrer l’équipe en vrai, mettre des visages sur les noms, voir le montage du vélo, ressentir l’ambiance à l’atelier. Et puis ça rend l’expérience encore plus spéciale. »
Tu pensais juste repartir avec un beau vélo… mais après ton baptême au col de la Madone, c’était comment ?
« Franchement ? Wahou. Les premiers tours de pédales étaient magiques. Le vélo est super réactif, je m’y suis tout de suite senti bien. Et puis le look… il attire grave l’œil ! J’ai pas pu m’empêcher de m’arrêter plein de fois pour le prendre en photo dès que le paysage s’y prêtait. »
Depuis, t’as enchaîné combien de kilomètres ? Des courses ? Des podiums ? C’est quoi la suite ?
« Depuis que je l’ai, les bornes ont défilé vite. J’ai fait un trip bikepacking dans les Vosges, et ma première course de 300 km : Les Géants. J’ai terminé 4e.
Prochain gros objectif : la RAF 2026, 2500 km. J’y retourne avec SCAPADA !!!, et j’espère faire mieux que cette année (6 jours et 59 minutes). »

